Armorique et bouts d’ficelle

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Commentaires postés par Frédérique

Affiche 11 pour 20 de 129 commentaires

Ecrire avec … Jacques Prévert

Ca y est j’ai compris ! (Après deux heures de corrections, j’ai le cerveau un peu ramollo). Bravo les filles. Comment avez-vous procédé pour l’écriture à deux ? (Bisous à Mathilde!)

Comment Posté par Frédérique sur 3 février 2009 à 21:13

B’alors… :-(
Fais comme moi, triche en piquant l’idée quelque part !

Comment Posté par Frédérique sur 1 février 2009 à 20:48

D’après un court-métrage intitulé “Les comptes”

Mon fils,
Tu as aujourd’hui 18 ans, à cet âge tu es suffisamment mûr pour affirmer tes choix et préparer ta vie d’adulte. Tu as été un bon fils, tu as été obéissant, tu as fait de ton mieux dans tes études et nous t’avons toujours protégé et donné l’affection dont tu avais besoin.
Le temps est venu pour toi de voler de tes propres ailes. Nous te laissons le champ libre. Mon chéri, nous t’aimons et nous te souhaitons une bonne vie.
Pour que le poids de notre éducation et du temps passé auprès de toi ne soit pas un fardeau que tu traîneras toute ta vie, nous voulons, ton père et moi, que les choses soient limpides entre nous. Tu sais comme j’aime que les choses soient dites à coeur ouvert.
Dans un premier temps, tu trouveras toutes tes affaires dans trois caisses rangées dans l’entrée. Prends ces affaires, tu en feras sûrement bon usage.
Ensuite, tu trouveras dans l’une des caisses le cahier de comptes que ton père et moi avons tenu des dépenses faites pour toi, de ton landeau et de tes couches jusqu’à ton téléphone portable. Tu trouveras à la fin du cahier le montant total de la somme que tu devras nous rembourser.
Ne t’inquiète pas, nous te donnons cinq ans pour nous rendre cette somme. Nous sommes convaincus qu’ensuite, ton coeur sera plus léger.
Bonne chance mon fils. Nous t’aimerons toujours.

Ta mère.

PS : Ne nous écris pas, ne nous téléphone pas, envoie-nous les chèques. Je sais que tu trouves cela dur mais c’est pour toi que nous le faisons. Tu nous remercieras dans quelques années.

Comment Posté par Frédérique sur 29 janvier 2009 à 18:37

Aliments Industriels Inavouables : la liste

Surimi
pringles crème oignon (découverts chez Chantal !)
soupes déshydratées (y’a longtemps)
guacamole en pot
magnum amande

Comment Posté par Frédérique sur 20 novembre 2008 à 20:09

L’augmentation

L’escargolade, c’est comme la sardinade, mais avec des escargots !

Comment Posté par Frédérique sur 20 novembre 2008 à 19:57

Le certif : l’épreuve !

Je viens de relire le sujet. Je ne vois pas comment le traiter sans tomber dans les préjugés les plus simplistes. c’est un peu raz-du-bitume quand même. Quand on dit qu’il y a eu des progrès dans l’enseignement !

Comment Posté par Frédérique sur 11 novembre 2008 à 12:32

Le premier sujet de rédaction m’interpelle. J’aimerais bien lire des rédactions de l’époque. Je ne peux pas m’empêcher d’imaginer le sujet traité avec des thèmes actuels : l’homoparentalité par exemple, les conflits ethniques ou alors le sujet qui déraille complètement : mes voisins sont des punks qui se droguent toute la journée. Au début j’avais peur d’eux mais j’ai appris à les connaître et maintenant nous prenons le thé tous les après-midi ensemble, je leur ai appris à tricoter et ils me font découvrir leur musique.
C’est le genre de sujet que personne n’oserait donner maintenant.

Comment Posté par Frédérique sur 11 novembre 2008 à 12:26

Sortie ciné

J’ai écrit trop vite, j’ai vu après que le couple Berresford existait chez Agatha Christie. Je ne me rappelle pas en avoir lu. A découvrir plus tard. En ce moment j’ai l’esprit trop occupé par des problèmes d’école et mes deux bras sont également souvent sollicités. Ca sera pour les vacances de Noël peut-être. J’espère que ce sera plus calme à ce moment là.

Comment Posté par Frédérique sur 3 novembre 2008 à 14:16

Le certif

J’ai lu Enyd Blyton, mais dans les collections de la bibliothèque rose et verte, pas en rouge et or. A quoi fais-tu allusion quand tu parles des signes de pistes ? Cela m’intrigue. Quelques autres titres me reviennent en tête Le cheval sans tête, La petite fille au kimono rouge, Treize à la douzaine (dans un carton chez mon papy), Dany, champion du monde. Pour en revenir aux séries, il y avait aussi les 6 compagnons, Fantômette. Je mélange bien sûr allègrement des auteurs contemporains de mon enfance et des auteurs plus anciens. A l’époque, je m’en fichais un peu !

Comment Posté par Frédérique sur 15 octobre 2008 à 16:53

Sortir le nez du guidon

Je me contenterai d’une balade par semaine et de quelques soirées chez des amis pendant quelques temps. Restons lucides !

Comment Posté par Frédérique sur 17 septembre 2008 à 22:28

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