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Sortie ciné
Profitant de notre séjour en Gironde, Michaël et moi en avons profité pour aller au cinéma ! Au programme, deux films en concurrence : Le crime est notre affaire de Pascal Thomas et Mesrine. Qui voulait voir quoi ? A vous de deviner.
Finalement, nous sommes allés voir Le crime est notre affaire. Nous avions précédemment vu Mon petit doigt m’a dit du même réalisateur.
Les deux films sont des adaptations de romans d’Agatha Christie. Les héros (Prudence et Bélisaire Berresford joués par Catherine Frot et André Dussolier) qui n’existent pas chez l’auteure de romans policiers sont très drôles et font tout l’intérêt des films. A voir pour avoir plus de détails : l’article sur le site du Monde.
En conclusion : un film très divertissant et rafraîchissant pour passer un bon moment, un peu comme rester dans son lit pour lire un Agatha Christie un jour de pluie, un chocolat à la main et une copine qui nous fait rire à côté en même temps (Bon d’accord, c’est un peu capillo-tracté comme comparaison).
Je ne l’ai pas encore vu, mais ça ne saurait tarder…
C’est bizarre cette façon qu’ont les réalisateurs de transférer les détectives d’un roman à un autre : la télévision britannique fait la même chose avec Miss Marple qu’on retrouve à la place d’Hercule Poirot (ou le contraire ?) dans certains films.Mais ça marche, alors de quoi se plaindrait-on ?
Quoi qu’il en soit, André Dussolier et Catherine Frot sont exactement Tommy et Tuppence !
Dans le chapitre cinéma, je viens de voir Séraphine, c’est stupéfiant…
J’ai écrit trop vite, j’ai vu après que le couple Berresford existait chez Agatha Christie. Je ne me rappelle pas en avoir lu. A découvrir plus tard. En ce moment j’ai l’esprit trop occupé par des problèmes d’école et mes deux bras sont également souvent sollicités. Ca sera pour les vacances de Noël peut-être. J’espère que ce sera plus calme à ce moment là.
Qu’entends-tu par stupéfiant” Chantal ? As tu aimé ce film ? Quant à moi, oui ! Ce n’est pas sans rappeler le destin de Camille Claudel, sauf qu’elle, était de famille bourgeoise. le traitement de la couleur dans le film ! Extraordinaire !
Je suis encore sous le choc de Séraphine… Yolande Moreau est le coeur de tout, je suis sidérée par la façon dont elle joue des expressions les plus discrètes de son visage : c’est ça une comédienne !